marmozets c'est l'histoire de 4 filles et d'un garçon qui font échapper ce groupe au ghetto métalleux et enthousiasme, la presse musicale britannique mainstream, ils sont 5 et avaient à grand peine 18 ans de myenne d'âge lorsqu'ils ont commencé à tourner.

ils ont dépassé les frontières du yorkshire pour devenir une sensation live et après quelques ep incendiaires leur album compte parmi les plus attendus de 2014, le vacarme n'attend pas le nombre des années et à ce jeu ils visent précis et sans trembler, le tout au service de refrains délicieusement pop.

                                            bob mould né à new-york est un musicien principalement connu pour son travail en tant que guitariste, chanteur et auteur-compositeur pour des groupes de rock aussi influents qu' hüsker dü dans les années 1980 et sugar dans les années 1990, il sortait un premier album solo après la séparation de hüsker dü.

il se met en lancement d'un label singles only label qui publiera des groupes tels que grant lee buffalo, il renoue avec l'enregistrement solo à partir de 1996, il développe des influences musicales plus proches de la dance music et de l'electronica, des influences clairement établies lorsqu'il enregistre " modulate " en 2002.

il revient avec un nouvel opus éclatant intitulé " beauty and ruin ".

                                             cloud nothings est l'oeuvre du jeune dylan baldi qui sévit depuis 2009 et connait un gros succés de l'autre côté de l'atlantique, ils ont commencé avec un vieil ordinateur et un micro bas de gamme dans la cave des parents de dylan baldi, une pop presque punk, des guitares bruyantes couchées les unes sur les autres.

une voix qui trace la mélodie, un air d'éternel adolescent des 90's, il a un truc imparable pour écrire ces refrains accocheurs où la mélodie se fond aux paroles, où les histoires simples servent l'exercice de la chanson, et qui nous rappellent effectivement wire et teenage fanclub.

après un passage entre les mains de steve albini qui avait épaissi leur son, retour à des inventions lo-fi pour le quartet de cleveland, leur power garage pop survoltée n'en dégage que plus d'authenticité.

                                                kasabian est un groupe formé en 1999 à leicester au centre de l'angleterre, kasabian est un quatuor influencé par les stone roses ou primal scream, le combo anglais se montre capable de développer son propre style en orientant son rock vers l'électro, le hip-hop ou même la house.

sans révomutionner le genre au milieu des années 2000 le groupe anglais eut un grand succés et participa au renouveau du rock anglais après le retrait plus ou moins volontaire de blur de la scène britpop, le nom choisi pour le groupe fait référence à linda kasabian une hippie qui avait été désignée par charles mason pour assister et témoigner des meurtres qu'il allait perpétrer dans la villa de sharon tate.

                                           ndidi est une force de la nature, de la nature sauvage de la colombie britannique où elle a grandi, mais aussi de celle des scènes " open mic " à new-york mais aussi de la nature des clubs de blues de toronto ou enfin de l'essence des vibrations de paris où elle perfectionne son art et sa technique.

une infusion de sons distillée autour de cette voix rare, son chant transpire l'univers musical empli de ses racines, world, blues, folk, rock et pop, elle séduit avec ce son époustouflant, très personnel qui est unique dans la musique d'aujourd'hui, une voix qui a un rien de shirley bassey entre les lignes.

cette jeune femme canadienne d'origine nigériane affiche quelques atouts, elle est belle et possède une voix chaude légèrement fêlée, des chansons qui se livrent sur un croisement de pop, de folk et de blues.