sticky fingers est un groupe d'australiens à l'esprit libre au point de laisser leur musique divaguer dans tous les sens de la ballade folk à la chanson rappée, du groove de la scène  madchester à l'hymne façon kaiser chiefs en passant par quelques morceaux de reggae-rock bien sentis.

il se dégage de ce groupe une belle énergie sur scène, leurs reprises des rolling stones sont à ranger dans un écrin particulier, c'est un brillant hommage dont il s'agit pour un des plus grangs groupes de rock  à savoir les rolling stones, c'est glen caroll qui vole la vedette pour cette production musicale.

                                              the magic numbers est un groupe de rock indépendant anglais qui est composé de paires de frères et de soeurs, le groupe se forme en 2002 sous le nom de guess, ils utilisent l'argent récolté pour améliorer leur matériel, ils sortent en 2005 leur prelmier album éponyme.

le groupe collabore avec les chemical brothers et nous gratifie d'un troisième opus en 2010 runaway ", depuis leurs débuts ils affichent un goût prononcé pour les harmonies vocales qu'ils mettent aujourd'hui au service d'un rock qui vogue de l'americana le plus authentique à la soul très orchestrée façon dusty springfield en passant par des clins d'oeil à pink floyd ou au disco, éclectique, cohérent et de bonne tenue.

                                            ellery roberts est l'ancien chanteur de wu lyf, il en était le leader torturé qui crachait ses questionnements identitaires et poétiques, le groupe séparé 3 anciens membres ont formé los porcos une banede jouissive concentrée sur l'exaltation d'un disco-rock parfait.

il récidive pour nous présenter un nouveau projet intitulé luh (pour lost under heaven), la puissance intacte de sa voix, cela nous promet de nouvelles aventures mystiques pour ce jeune mancunien, un premier morceau titré " unites " est en écoute désormais sur youtube, à l'écoute attentive messieurs et mesdames.

                                              lady gaga de son vrai nom stefani germanotta est née à new-york, très tôt fascinée par le monde du spectacle elle connait son lot de petits boulots de serveuse à danseuse go-go, elle adopte son nom de scène en référence au titre " radio ga ga " de queen, elle collabore avec akon et commence à produire ses propres titres.

son équipe créative haus of gaga lui permet de se créer une identité et un buzz via les nouveaux médias, un premier album " the fame " en 2008, pourvue d'un réel talent d'écriture elle apprend vite à doser ses effets, elle entretient l'art et la manière d'occuper le devant de la scène, on la compare dés lors à madonna.

après son troisième album elle n'arrête pas de faire parler d'elle en continuant d'entretenir son statut d'icône pop à grands coups d'annonces et de photos provocantes, son quatrième opus " artpop " voulant embrasser dans un même mouvement pop dance, mainstream et électro underground.

                                           gengahr est un des espoirs du rock anglais et ils sont des habiles manieurs de guitare, le groupe incarne une certaine idée de la pop électrique anglaise, à la fois expérimentale et ouverte au monde, épaulés par l'équipe particulièrement efficace d'alt-j ils sont devenus la cible de toutes les convoitises de l'industrie londonienne.

l'angleterre possède cette tendance à effacer le disque dur de sa mémoire musicale tous les dix ans, elle autorise de tels jeunes godelureaux à s'imposer avec les fantômes de radiohead, leur guitare assez prodigieuse, cool et tendue sait parler aux nuages et suffit déja à les qualifier d'entrée pour la shortlist du mercury prize 2015.