samba de la muerte est un groupe curieux et inventif originaire de caen qui ne cesse d' arpenter les scènes françaises rassemblant un public de plus en plus large, la samba de la muerte est la danse de la mort, un nom aussi audacieux que plein de promesses.

derrière ce pseudonyme hispanophone se cacha adrien leprêtre le claviériste des concrete knives, artiste perdu entre ses aspirations folk et sa passion pour la bossa-nova et la kora africaine, c' est entouré d' un violoniste, d' un percussionniste, et d' un multi-instrumentiste que l' artiste se produit à travers un groupe qui mêle le folk et la world music, le groupe a déja proposé 3 disques.

un projet home-made qui mélange folk et folktronica.

                                          ensemble pygmalion fut fondé en 2005, la réunion d' un choeur et d' un orchestre sur instruments anciens, constitué de jeunes musiciens aux parcours divers, principalement centré sur l' univers de jean sébastien bach et de ses contemporains.

le répertoire permet désormais de passer du répertoire baroque à la création contemporaine, leur spécificité est aussi la recherche d' un noyau de musiciens fixes et fidélisés, leurs enregistrements autour de bach sont multi récompensés.

a la tête de cet ensemble le jeune raphaël pichon.

                                       ottilie b est une chanteuse instrumentiste qui interprète des chansons aux facettes aussi multiples que ses origines ( kabyle, mongolie, italie), une nouvelle venue dans la chanson française à découvrir sur scène à l' orée de son premier album.

un cocon de notes électroniques et de percussions empruntées à la world music, des boucles vocales en contrepoint et des influences à contre-pied, elle oscille entre intime et imaginaire dans une énergie brute et spontanée, un album loin du conformisme " histoires d'o2", on pense à camille et claire diterzi.

elle s' est frayée un chemin jusqu' aux ondes des radios publiques, elle est déroutante de quoi éveiller une saine curiosité.

                                        marilyn mazur est une batteuse, percussionniste et danseuse danoise, elle est née à new-york et vit au danemark depuis ses 6 ans, depuis 1975 elle a travaillé avec de nombreux groupes parmi lesquels six winds avec alex riel, ou le groupe de jan garbarek.

elle est esssentiellement autodidacte mais possède un diplôme de percussions, elle a oeuvré avec de nombreux musiciens parmi lesquels john tchicai, pierre dorge, niels henning orsted petersen, palle mikkelborg, arild andersen, alfred 23 harth, eberhard weber, peter kowald, jeanne lee, miles davis, gil evans et jean-michel pilc,elle forme son groupe future song en 1989, elle mène aussi un autre projet percussion paradise.

son nouveau disque " celestial circle" permet d' apprécier son travail, son intégrité et ses performances scéniques.

                                              valgeir sigurôsson est un réalisateur artistique, ingénieur du son et compositeur islandais, issu du milieu musical sa fascination pour l' enregistrement le mène à travailler dans un petit studio d' enregistrement à 16 ans.

par la suite il étudie la guitare classique, en 1988 il est enrôlé par sa compatriote björk en tant qu' ingénieur et programmeur pour travailler sur la bande son de " dance in the dark" un film de lars von trier, il collaborera avec elle jusqu' en 2006 et fut l' un de ses principaux collaborateurs studio.

il est le fondateur des studios greenhouse, l' une des structures d' enregistrement islandaises les plus réputées, en 2005 il participe à la création du label bedroom community et par ricochet lance la carrière discographique de nico muhly, il produit et sort sur ce label plusieurs albums de ben frost et de sam amidon.

il compose pour la télévision, le cinéma et le théâtre, un premier opus en 2007 " ekvilibrium", et " architecture of loss " en 2012, il a collaboré avec de nombreux musiciens reconnus tels que bonnie prince billy, camille, cocorosie, kronos quartet, the magic numbers, mum, feist.

il est aujourd' hui un expérimentateur reconnu, en projet avec yaron herman, bertrand chamayou et fredrika stahl.