nelson mandela ( 1918-2013) a été chanté par les artistes du monde entier que ce soit simple minds, u2, eddy grant, peter gabriel,
the specials et tant d' autres que nous ne saurions dévoiler présentement, mais les artistes sud-africains que l' on a tendance à oublier quelque peu ont été évidemment les premiers à honorer le
leader de la lutte anti-apartheid avec parfois moins de reconnaissance internationale.
on dénombre ainsi:
myriam makeba dans " nongqongpo " ( to those we love) en 1965
hugh masakela dans " bring him back home " en 1987
johnny clegg dans " asimbonanga " en 1987
brenda fassie dans " black president " en 1990
lucky dube dans " house of exile " en 1992
vusi mahlasela dans " when you come back " en 1992
danyel waro feat tumi boitemoulo molekane dans " mandela " en 2010
trenton & free radical dans " mr mandela " en 2010
nomfusi & the luckycharms dans " nelson mandela song " en 2011
john lockley dans " xhosa song for nelson mandela " en 2012.
le personnage et le combat contre l' apartheid de nelson mandela ont été la source d' inspiration de nombreux chanteurs et groupes de musique que ce soit pendant sa détention ou après sa
libération des geôles sud-africaines.
rarement les musiciens ont rendu hommage à un homme politique de son vivant, on découvre ainsi johnny clegg dit le zoulou blanc avec
" asimbononga " une chanson écrite après de violentes émeutes en afrique du sud, une chanson ehgagée qui rend hommage à mandela et dénonce l' apartheid.
puis ce sera " mandela day" des simple minds, une chanson qui évoque à la fois la détention de mandela et sa prochaine libération, le
groupe ska the specials pour une chanson-hommage, le sénégalais youssou n' dour loue le combat anti-apartheid avec " nelson mandela", levy barrington une figure du reggae jamaïcain compose
"mandela free", et u2 qui vient d' enregistrer " ordinary love " pour la bande originale du film " long walk to freedom " qui sort en france le 18 décembre 2013.
un homme de paix, de fraternité, de tolérance qui méritait bien tous ses hommages au seuil de cette immense vie accomplie dans la
dignité et le respect de toute chose.