alexander sitkovetsky est né à moscou dans une famille de musiciens, il fait ses débuts en concert à l'âge de 8 ans et étudie à la menuhin qui est une source d'inspiration durant toutson apprentissage et ils jouent ensemble à plusieurs reprises comme le double concerto de bach ou les duos de bartok.

il se produit entre autres avec des orchestres tels que le netherlands philarmonic, le english chamber orchestra, l'academy of st martin's in the fields et la bbc concert orchestra, et avec des musiciens comme julia fischer, janine jansen, misha maisky, polima leschenko, et julian rachlin, il signe des enregistrements chez emi, decca ou orfeo.

                                              thomas hampson est un baryton américain, chanteur complet et engagé il incarne le charisme lyrique dans son état le plus raffiné, il est le créateur d'une fondation qui vise à rapprocher les peuples par le chant, les sources de la mélodie américaine, un premier souvenir musical à 17 ans un lied de schubert.

des débuts en autodidacte pour une vocation de chanteur qui s'est affirmée après 21 ans, des mentors comme leonard bernstein, elisabeth scwarzkopf, jean pierre ponnelle, nikolaus harnoncourt, ou daniel barenboim, il est persuadé qu'on ne comprend bien une culture qu'à travers ses poètes et ses chants.

                                             earh wind and fire est un groupe de funk qui aura marqué le disco lors des années 1970 à l'instar de kool and the gang, le groupe nait en 1969 un nom inspiré par cette légende anglaise winston churchill le sagittaire lié à la terre, le vent et le feu, à partir de " gratitude " en 1975 le groupe rencontre le succés.

le public loue leur musique qui associe le funk, et le jazz au symphonique, une mixité qui prend toute sa mesure sur scène, le groupe n'est pas avare en chorégraphies et costumes tous plus flamboyants les uns que les autres, leur grande réussite sera " september", et "boogie wonderland" en 1979 en tête des charts.

les années 1980 qui voient émerger la musique électronique et les groupes de rap vont marquer pour eux un relatif déclin, le groupe sort son 23ème opus en 2005 "illumination", la légende demeure.

                                             underground resistance est un collectif musical basé à detroit, c'est d'abord une valeur, un projet, une philosophie celle de la résistance contre la pensée unique, des apparitions dans les médias extrêmement rares même avec le mythique mad mike fondateur du crew en 1989.

des influences déclarées venant principalement du son de la motown, detroit fut le berceau, l'incubateur de plusieurs genres musicaux, le son de detroit est un son industriel, pour recréer le son de cette ville il faut mixer aretha flankin avec le reverand james claveland, puis ce dj electrifying mojo qui jouait des trucs vraiment différents.

jeff mills était là au début d'underground resistance, un projet mené toujours activement par cornelius et mad mike alias michael anthony banks.

                                         pharmakon de son vrai nom margaret chardiet est originaire du queens à new-york ou elle a grandi au sein d'une famille se revendiquant du mouvement punk, elle s'installe dans le quartier de far rockaway, cette maison deviendra rapidement l'antre du red light district.

c'est un collectif centré sur les musiques extrêmes de la sphère électronique, on y retrouve frank ludovico, membre du trio yellow tears, entre 2009 et 2012 le red light district organise le burning fleshtival un évènement ou se côtoient des groupes et des dj's affiliés à la musique noise et expérimentale, en 2013 " abandon" sort sur le label sacred bones.