kim est un chanteur et multi-instrumentiste bordelais, il est né à cannes à une époque où son père jouait avec jacques higelin, un chanteur plein de poésie, la variété si noble

toute sa famille joue de la musique, pour sa part il apprend la batterie à 10 ans, il passe à la radio à 14 ans pour la première fois avec une de ses propres musiques, une longue pièce expérimentale pour chariot de supermarché.

il apprend l' orgue et la guitare et se met à étudier l' harmonie, le solfège, l' analyse musicale et l' histoire de la musique, il veut jouer de plus en plus d' instruments comme raymond devos qu' il admire, son premier album intervient en 1996 "our dolly lady lane in mk land", il décide de monter son propre studio le mk lab,entre 1994 et 2000 il joue dans toute la france et fait aussi le dj.

un album "the hard rock" en 2000, un album résolument garage, ses prochains disques entre 2001 et 2007 seront nettement plus confidentiels, il enregistre son propre album posthume "kim is dead", il s' installe à paris en 2008 et sort "don lee doo" son 17ème album, cette fois très bien accueilli.

il joue de l' omnichord sur l' album d' olivia ruiz "miss météores", il lance ensuite sa web tv telekim, qui ravit de nombreux internautes, on lui compte plus de 1700 concerts et plus de 400 chansons à la sacem, il réalise aussi ses vidéos, des bandes dessinées et tient un blog.

il rencontre la chanteuse clea vincent en 2009, ils écrivent deux chansons ensemble, il co-écrit "off the wall" pour le nouvel album de yuksek, il multiplie les projets, à son sujet on évoque l' antifolk et la lo-fi music à son sujet, son obstination modeste peut évoquer karen dalton, guitariste talentueuse, chanteuse de folk et blues

et une dramaturgie qui renvoie à nick drake, préfiguration de l'artiste maudit, incompris

un charme constant et une richesse harmonique peu commune, une douce mélancolie pour cet inlassable trublion musical.

                                                 mathieu chedid est né à boulogne-billancourt et assure dès 6 ans des choeurs sur le premier tube de son père " t'as beau pas être beau", il sortira son premier album "le baptême" en 1997, le deuxième album intervient en 1999 "je dis aime".

son album "qui de nous deux" sort en 2003 et s' écoule à plus de 400 000 exemplaires, il remporte de nombreuses victoires de la musique et en 2007 il produit l' album de vanessa paradis "divinidylle", il sort en 2009 l' opus " mister mystère", il réalise et arrange l' album de son père l' année suivante " on ne dit jamais assez aux gens qu' on aime qu' on les aime".

il compose et réalise l' album de johnny hallyday "jamais seul", son dernier album "Il" est bizarre et maximal à la fois, des morceaux tubesques et d' autres versant plus dans l' expérimentation, il fait le grand écart entre rock explosif et pop rêveuse, il se révèle un grand guitariste notamment dans la musique du film de guillaume canet "ne le dis à personne" et un showman à la mesure de ses multiples talents.

                                               guillaume séguron étudie la contrebasse au conservatoire de nîmes ainsi qu' à paris avec entre autre jean françois jenny-clark, il participe à la création des phéniciennes en 1998 et rencontre les musiciens qui gravitent autour de l' A.J.M.I à avignon.

il joue avec jean marie machado en 2000 pour la création passades dans l' oechestre réuni par louis sclavis, polyinstrumentiste et surdoué en clarinette jazz

il fera partie du quartet the mystery of songs, il joue en 2001 dans le quartet du saxophoniste antoine ortega, il participe aussi au quartet de stephan oliva, pianiste immense d' impro et de composition

il multiplie ainsi les projets musicaux et collaborations fructueuses avec ses pairs, de l' acoustique à l' électrique, de l' improvisation du solo aux grands orchestres, ce contrebassiste qui joue régulièrement depuis 2003 dans les groupes de denis fournier, un batteur avec un sens total de l' improvisation

il explore librement toutes les pistes musicales.

il a joué et enregistré pour lamber wilson dans le spectacle "la nuit américaine" en 2005-2006, et conçu un projet en solo à partir de l' oeuvre du peintre jackson pollock, une pointure indubitable du free-jazz "french touch".

                                                   cody chesnutt est un enfant prodige un rien cabot d' atlanta, il doit son émergence au tube "the seed (2.o)" que le groupe les roots lui emruntèrent en 2002, les initiés de la soul découvrent ce dilettante fantasque avec l' arrivée de son premier album "the headphone masterpiece", un joyau brut de soul et de rock.

un album qu' il enregistra dans sa chambre sur un magnéto 4 pistes, il revient ensuite sur scène dans un répertoire plus orchestral et authentiquement soul, il nous offre un deuxième opus très arrangé et enregistré dans un studio mythique l' album "landing on a hundred".

                                              rikki ililonga de son vrai nom rikzeto makuyu ililonga est un chanteur zambien, il est avec son groupe musi-o-tunya l' un des principaux représentants du zamrock, un mouvement de fusion qui a agité la scène musicale zambienne des années 1970.

cette musique fortement influencée par james brown et jimi hendrix mêle funk, rock, psychédélique et afro-beat, en zambie dans les années 1970 on jouait du garage rock avec witch ou amanaz, deux combos emblématiques du psyché-rock.