claudine longet, la papesse de l' easy-listening

         claudine longet a connu sa popularité dans les années 60 et 70, on la découvre dans un film de blake edwards the party ou elle interprète nothing to loose. elle chante avec aplomb sans avoir l' air d' y toucher. c' est le producteur andy williams qui lui met le pied à l' étrier, elle fera ainsi du music-hall et des apparitions dans des séries à la télévision.

elle publiera 5 albums entre 1967 et 1970 selon des principes intangibles; pochettes de disque avec herbe et fleurs, notre chanteuse y figurant souriante ou mélancolique; un répertoire construit autour de 4 axes:

1) la musique brésilienne

2) la chanson française

3) la pop américaine et anglaise

4) adaptations de musiques de film   

ses interprétations sont légères, toutes en nuances contrôlées, elle est l' apôtre de ce mouvement titré easy-listening, sa vie qui n' était que paillettes sombre dans le fait divers abject, elle tue accidentellement son deuxième compagnon ce qui mettra un terme à cette carrière si singulière.